La décoratrice belge Victoria-Maria Geyer, amoureuse des tissus, des matières et d’histoire et inconditionnelle de Pierre Frey a proposé ses esquisses à Patrick Frey qui, séduit par ses motifs de serpents, a décidé de les éditer. Un choix osé, car le serpent fascine autant qu’il effraie. Les deux dessins sont déclinés en rouille, bleu nuit ou «canon de fusil», une gamme de couleurs chère à la décoratrice. L’un, dans l’esprit des planches animalières gravées du 18e siècle, est composé de trois serpents brodés sur une épaisse toile de lin. Le second présente des serpents se mordant la queue, symbole d’autofécondation ou de créativité que l’on trouve en soi-même. Une collab hypnotique !
Chez Interior’s