300 lieux ouvraient leurs portes au public : showrooms de design, boutiques, galeries, ateliers, restaurants, hôtels, mais aussi musées et institutions.
Nos coups de coeur en images.
Né en 2021 à l’initiative de Johanna de Clisson, le studio Hiromi propose de superbes créations : qu’il s’agisse de luminaires, d’appliques murales ou de mobilier, les œuvres de cette designer séduisent par la pureté de leurs lignes et leur structure minimaliste. Réalisées en faïence chamottée, elles possèdent un aspect sableux et des teintes douces qui invitent instinctivement à la caresse.
Zoé Rumeau est une artiste pleine d’entrain et de curiosité. Un peu touche-à-tout, elle travaille le fil de fer, pratique le fusain et fait de la sculpture. À l’occasion de cet accrochage en carte-libre, elle a imaginé une singulière allégorie du mythe d’Icare. Dans cette composition monumentale, Zoé a conçu deux grandes ailes où les plumes du fils de Dédale ont laissé la place à d’étranges brisures de faïence et de porcelaine blanche. À mi-chemin entre pesanteur et légèreté, cette oeuvre nous fait penser à un ange déchu pétrifié par Méduse. Lors d’un face à face avec la Gorgone, il se serait précipitamment envolé, laissant sur terre son lourd manteau aux ailes plombées…
Avec D3SIGN CAPSULE, ELLE Décoration projette le monde de la décoration dans un futur numérique, celui des métavers, des NFTs, de la blockchain, des intelligences artificielles… La rédaction a proposé à 15 designers, décorateurs et architectes de collaborer chacun avec un artiste numérique reconnu. Chacun des binômes ainsi formés a élaboré des œuvres virtuelles imprégnées de leur univers respectif.
Pour la deuxième année consécutive, Leblon Delienne exposait avec Maison Dada 10, rue de Turenne dans le Marais, avec une scénographie réalisée par Thomas Dariel, co-fondateur de Maison Dada.
Cet événement était l’occasion de découvrir de nouvelles collections hautes en couleur, notamment avec l’artiste Jean-Charles de Castelbajac et la designer Elena Salmistraro, figure phare du nouveau design italien.
Il était également possible d’y admirer l’iconique personnage de Mickey dans un matériau d’exception en marbre, en bois de noyer ou encore en bronze avec la nouvelle déclinaison de la sculpture Mickey Rock d’Arik Levy.
Le mobilier dessiné par Aline Asmar d’Amman célèbre une certaine vision de la féminité avec un instinct moderne. Déclinées en plusieurs familles, les pièces se distinguent par un goût prononcé pour l’allure inspirée, la haute-facture et la liberté créative. La sémantique contemporaine qui motive le dessin et les associations de matières se nourrit de références artistiques, de l’amour de la mode et de ses silhouettes, de rencontres singulièrement éclectiques avec des projets, des moments, des artisans.
L’Ameublement français met à l’honneur la Haute-facture dans l’exposition Psychanalyse d’un meuble à quatre pattes signée par Vincent Darré, en partenariat avec la Monnaie de Paris, écrin parisien historique, fervent promoteur des savoir-faire et de l’excellence à la française. Treize Maisons vont révéler les secrets de leurs savoir-faire dans une scénographie immersive du fantasque décorateur, fasciné par l’histoire des arts décoratifs du XXe siècle. Il va coucher sur le divan ces maisons porteuses d’un savoir-faire d’exception et faire entrer le visiteur dans un cabinet de curiosité aux multiples références.
@RBCmobilier, fidèle à son approche culturelle, s’est associé au parcours @parisdesignweek et a présenté l’exposition : “L’ANIMA : DU TRAIT À L’OBJET”, conçue par @patrickjouin.id et @pedralispa
Cette installation a permis de découvrir les neuf années de collaboration entre le designer français @patrickjouin.id et l’éditeur italien @pedralispa.
L’inspiration, l’idée, le dessin, c’est tout le cheminement de création jusqu’au produit qui est présenté.
A l’occasion de la Paris Design Week, @made_in_design et @printemps Haussmann a convié la maison @popus.editions à exposer sa création rétro et colorée au sein de la Galerie Made In Design, au 2ème étage du Printemps de la Maison et de la Beauté.
La jeune garde illustre à sa façon le thème de l’année choisi par Maison&Objet et Paris Design Week : META-Sensible.
C’est avec ce thème en tête que la curatrice Emily Marant a sélectionné 24 dossiers parmi les candidatures pour les exposer ensemble à l’Espace Commines. Ce dernier accueille également le café @intramuros_magazine meublé cette année par @vitra avec de nouvelles rééditions de Jean Prouvé. C’est là qu’ont eu lieu deux Talks quotidiens, du 8 au 12 septembre.
Le nouvel espace La wellness Galerie des @galerieslafayette Haussmann dévoile un nouveau concept : Les Bulles !
Des cocons de bien-être 100% modulables et à privatiser, inspirés par le design rond et enveloppant des années 70, pour vous faire vivre une expérience inoubliable.
Cet espace évolutif peut être entièrement personnalisé et se révèle idéal pour vivre un moment hors du temps, festif ou intime, en plein coeur de Paris.
Dans le cadre de PDW 2022, l’architecte @fabriceausset a proposé Mobilier Singulier à la @sarto.galleries . La sélection d’une quinzaine de ses toutes nouvelles pièces uniques mobilières mises en regard de l’exposition @benoitlison7 de la galerie.
Emmanuel Foyatier est l’heureux descendant de la Maison Martin Morel. Créée en 1896, cette entreprise lyonnaise était spécialisée en impression textile et donnait le ton dans les collections de prêt à porter de l’époque. Après bien des années glorieuses, le grand-père a cependant été contraint de fermer l’usine Morel en raison du contexte économique. Pour ne pas laisser ces dessins tomber dans l’oubli, Emmanuel Foyatier a retrouvé toutes les archives de ses aïeux et décidé de les rééditer non plus sur tissu mais sur papier peint !
