Du verre de Murano fusionné à la fourrure d’alpaga, le PAD Paris 2025 sera le théâtre d’une alliance rare entre création contemporaine et savoir-faire d’exception. Une collaboration signée La Chance, Carole de Bona et la galerie Second Pétale, à découvrir au stand 25 du Jardin des Tuileries du 2 au 6 avril.
Sous la verrière printanière du Jardin des Tuileries, le PAD Paris 2025 accueillera une collaboration inédite : La Chance, éditeur emblématique de design contemporain, s’associe à la designer Carole de Bona et à la galerie Second Pétale pour présenter une sélection de pièces rares et sophistiquées. À travers cette initiative, les trois entités célèbrent une vision du design où l’objet devient manifeste de matière, de forme et d’histoire.
Trois pièces phares illustrent la richesse de cette rencontre entre design contemporain et métiers d’art.
En premier lieu, la table Marfa d’Anthony Guerrée, rééditée avec un plateau en verre de Murano fusionné. Ce verre vénitien, résultat d’un savoir-faire ancestral, se conjugue ici avec la force brute et minérale de l’aluminium moulé au sable. Une composition qui transcende la fonction pour tendre vers la sculpture.
Autre pièce remarquable : la chaise Phoenix de Rudy Guénaire. Présentée dans une édition limitée en fourrure d’alpaga — en collaboration avec Inata —, elle associe confort extrême, douceur tactile et structure en aluminium cintré. Un design qui évoque l’avant-garde sans renier l’intimité du geste artisanal.
Enfin, La Chance revisite l’iconique Bolt. Sa nouvelle édition révèle l’art du bois brossé et du laiton martelé. Plus qu’un meuble, une œuvre où le travail des matières nobles résonne avec une esthétique affirmée et sculpturale.
Ce projet commun, orchestré au stand 25, ne se contente pas de juxtaposer des pièces d’exception. Il les met en scène dans un espace pensé comme un écrin, où chaque objet affirme son unicité tout en dialoguant subtilement avec les autres. L’ambition ? Offrir au visiteur une immersion dans un univers où la frontière entre design et art s’estompe.
chez Fenêtre sur Cour
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